Malhoun : Adieu mon père...

Content de te retrouver ici malgré la peine que je ressens dans ce poème qui est fort car ni pleurnichard, ni emphatique mais sobre et c'est ainsi qu'on trouve le calme et la possibilité de rebondir.
Puisse tes poèmes vous aider dans cette épreuve et donner les mots qui seront venus de là-haut car il soufflera aussi le bel oiseau.
Bon temps et courage.

Je te remercie Pierre-Louis de la sympathie que tu me portes pour soulager ma tristesse. ..Troublée sans doute je t'ai écrit un message privé mais c'est à moi que je l'ai adressé!
Je recommencerai dès que possible car en ces jours j'ai bien du mal à me remettre à écrire.
Sois assuré de ma très sincère amitié.

Le ciel est le terrain de jeu des oiseaux, leur espace de liberté. L'oiseau qui siffle dans le jardin du Souvenir ; cet oiseau chante le bonheur d'avoir partagé tant de bons moments avec toi. Il chante aussi le bonheur de retrouver son ciel, d'où, chaque instant, il peut veiller sur toi.

Ecoute-le chanter, apprivoise la mélodie et très bientôt, lui de là-haut et toi d'ici, chanter le bonheur qui, pour toujours, vous unit.

De tout coeur avec toi,

Je te remercie pour ce commentaire si poétique...J'avais dit que je repasserai et je ne suis pas revenue...grâce à toi me voilà.
Je ne dois pas me laisser gagner par le découragement et retourner vous lire comme vous l'avez fait si gentiment pour moi.
Avec toute mon amitié.