Agglutinés sur les germes
Aux crochets flagellants,
Amalgamés, presque,
Jusqu’à la faute d’odeur,
Brassés par les brises,
Fusionnant parfois sur un minuscule instant,
Incorporés au fluide fameux,
Touillés par les vents,
Alliés,
Odeurs de sirènes à insectes,
Composés sur les mélodies de notre atmosphère,
Les parfums s’entremêlent.
Trébuchent.
Qu’un tourbillon les bouscule
Et l’un pousse l’autre à nos narines.
Puis au cœur du froid,
Les fleurs aussi modérées que parfumées du matin
S’assoupissent.
La saison chuchote que la vie est cursive