Ouh là là quelle force et chaque fois je me sens petit et pourtant tellement intérieur dans ce que tu écris. C'est surprenant mais c'est ainsi que l'on avance en ne craignant rien et Lilou est sûrement dans cet état qui lui donne cette possibilité de dire vrai ce qu'on ressent ici. Merci. Dés que revenu, dans ma maison-marine, je ne me permettrai pas de te voir deux fois nue, mais... C'est trés beau, évocateur, mais j'ai peur que cette recherche forcenée des mots entrave tes profondeurs. N'étouffe pas tes sentiments, car ils sont méchants aussi et capables d'étranglements. A toi