j'ai lu et relu, ces mélanges de légèreté cachée dans une apesanteur, chaque strophe qui répond et donne une sorte de lourdeur cachée dans un désir non-dit et redouté en même temps. Puis, cette nouvelle et troublante façon de dire un érotisme qui me sied, ouvert sur des espaces si grand même si la peau est une écorce caressée dans l'élan. tant à dire sur tes textes que je te crois capable d'aller plus loin dans les mots cherchés jusqu'inventés. La liberté vient mais il faut la cultiver. Merci de ce beau poème d'amour que chacun peut prendre pour lui.