Mourir, s'il le fallait, oui, mais d'amour,
Oublier mes tourments, m'endormir dans ses bras,
Nourrir mon corps de sa tendresse pour toujours.
Alors je ferme les yeux et je le vois,
Même l'éternité ne saurait nous séparer,
Optimiste, on me le dit souvent, mais laissez moi rêver,
Un rêve doux comme de la soie,
Rêver à jamais de lui et moi.
On va me prendre pour une dingue avec tous mes poèmes d'amour....
Ne le suis-je pas un peu ?