Dans les méandres
De toutes les cendres
Aux champs des heures
Parfois le coeur
Donne vertement
Le parfum lent
Des mots vélins
Aux gestes des mains
Où la plume plonge
Quand elle y songe
Sans exister
En vérité
Pour l'odeur vive
Des âmes naïves...
Ce poème lu à haute voix est ici:http://harmonie13.xooit,fr