Larmes que vous êtes jolies
Quand vous coulez pour elle
Déchirant les pensées d’une âme en peine
Vidant un pauvre corps du sang de ses veines
Vous brouillez mes yeux
Ô déferlantes d’un cœur amoureux !
Vous êtes poésie d’un cœur qui ruisselle
Déchiré et splendide recherchant l’éternelle
Celle qui en vérité est plus que douceur
Repos beauté vie intense
Mélange harmonieux de toutes les splendeurs
Une femme qui songe rit et danse
Ne laissant de places à la tristesse
Repoussant les malices d’une vie monotone
N’accordant que loyauté justesse
Pour un bonheur sans fin une grande allégresse[/size]