Il faut le lire comme si tu regardais un tableau de Dali, supersurréaliste, comme le film de Bunuel avec l'oeil coupé au rasoir, comme Cocteau dans le château avec J. Marais. Il n'existe pas de fond sauf qu'on est regardé où qu'on soit, et tu l'as parfaitement compris. merci de ton com. je crois que là je tue la poésie... Tu vois laquelle.