Dans la mélancolie de ma solitude,
Je continue ma vie comme par habitude.
Pourtant je ne crois pas à Rousseau mais Descartes.
C’est pour moi une pensée qui s’écarte.
Je pense à toi mon Dieu et je ne suis plus seul,
Je suis avec toi et les gens qui veulent.
Je poursuis ton chemin c’est une certitude,
Comme Pascal c’est pour moi une plénitude.
Mon existence est volonté de partage,
Ma femme et mon fils un chemin sans vague.
Vivre !Vivre ! la vie est une aventure.
Vivre !Vivre ! oublier toutes les blessures.
Toi ma femme, toi mon fils les amours de ma vie.
En votre compagnie j’oublie tous mes soucis.
La solitude donne de la tristesse.
Oublier ! Oublier !comme une promesse.
Oublier ! Oublier ! fini la détresse.
Ma femme, mon fils sont de belles caresses.
Avec toi mon Dieu et eux, il n’y a plus de noir ;
Avec toi mon Dieu et eux, il y aura l’espoir.