Un amour qui hante, une braise dont tu prends soin, toujours vivante, je ne sais trop....et plus que ton exil, c'est le continent qui s'est exilé, te laissant seule en place...ça volète entre espoirs et un quelque chose de chagrin...c'est triste, et tendre aussi...un poème-pelote, avec des éclairages changeant, et j'ai la sensation d'une émotion funambule, qui ne sait elle-même vers quel angle aller, et dont tu as fait beau poème.
Amitiés