I.
La mer prend des collines quelques ondulations vertes
Et les repos blancs, aux archipels des souvenirs,
Qu’elle relatera plus tard.
Aux huitriers, les marches des foules pressées,
Des piétinements d’un samedi d’avant fête
Et toi, tu te levais.
Tu te levais en brouillard.
II.
Du sommeil, je dégringole,
Je prends les marches du jour,
Aux girons craquants,
Du toboggan du rêve, je coulisse,
Le jour se couche sur le papier,
Tout est alterné,
Plaque des yeux et impressions du jour,
De l’archipel, j’arrive au casernement.
III.
Tu sors de l’oubli,
Tu conquiers le matin,
Tu sais de la lie
Qu’il y a une fin.